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Championnats du monde d'athlétisme 2023

Mondiaux d’athlétisme 2023 : La France vice-championne du monde du 4x400m masculin !

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Mondiaux d'athlétisme 2023 La France vice-championne du monde du 4x400m masculin !
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CHAMPIONNATS DU MONDE D’ATHLÉTISME 2023 – Course phare de la fin des championnats du monde, le 4x400m hommes a vu les États-Unis remporter la course. Ils gagnent devant la France et le Royaume-Uni. Les Français Ludvy Vaillant, Gilles Biron, David Sombé et Téo Andant battent le record de France et apportent la seule médaille de la délégation tricolore.

Après une solide course en séries, les Français Ludvy Vaillant, Loïc Prévot, David Sombé et Téo Andant accèdent à la grande finale du relais du 4x400m. Ce relais est d’ailleurs l’ultime chance pour la France d’éviter le 0 pointé, comme en 1983 et 1993. Meilleur temps des séries, les Américains s’avancent en favoris dans une course qui voit souvent les représentants de l’Oncle Sam triompher. Ils devraient tout de même se méfier des Jamaïcains et Britanniques, impressionnants en séries. L’Inde, avec un nouveau record d’Asie, sera l’attraction de la course.

Un quatuor argenté et record

Au départ du relais, le staff tricolore a remplacé Loïc Prévot par Gilles Biron en 2ème position. Après un bon 1ᵉʳ relais de Vaillant, Gilles Biron fait le travail en restant dans le paquet au 3ème passage. David Sombé fait sa course dans la foulée des Britanniques, avant de passer le témoin en 2ème position, loin derrière la fusée américaine. Téo Andant résiste tout son 400 mètres pour conserver la 2ème place face au Britannique, au Jamaïcain et au coureur du Botswana ! Avec un temps de 2:58.45, le quatuor français bat le record de France. La France ne repart pas fanny de Budapest et peut pousser un ouf de soulagement. En tout cas, le relais tricolore prend date pour Paris 2024, même si les USA ont largement dominé les débats.

Les réactions des Français.

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Journaliste/rédacteur depuis décembre 2016 - Amateur professionnel de sport, d’abord le football, j’aurais pu en faire mon métier. Mais bon, vous savez les … non, pas les croisés, ils vont bien eux. Juste un manque de talent, de technique et de niveau surtout. Mais cette passion est ancrée en moi telle la pomme dans la tarte tatin. Le côté suiveur/supporter est évidemment important au quotidien, que ce soit un soir de juillet 1998 en banlieue lyonnaise ou de juillet 2018 à Montréal. Car oui, depuis ma France natale, j’ai migré outre-Atlantique, au pays des caribous. Là, le football se joue à la main et non au pied. Et surtout, la religion sportive est plutôt froide et se joue avec une crosse. Non, ce n’est pas le curling ni le Lacrosse, encore que, mais le hockey sur glace. Une autre vision, une autre culture. On troque les crudités devant la télé pour une poutine et on s’installe avec notre chandail pour suivre cela. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ou la vitesse d’un slap shot de McDavid ou un arrêt de la mitaine de Price, j’écris sur de l’actualité par ici mais aussi le sport féminin, pas assez mis en avant.

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