14 février 2010 : Jason Lamy-Chappuis devient champion olympique

Assuré de remporter son premier globe de cristal en coupe du monde du combiné nordique, Jason Lamy-Chappuis se permet l’impasse sur deux épreuves afin de se préparer au mieux pour les Jeux Olympiques de Vancouver. Quelle bonne idée !

Ça s’est passé le 14 février 2010

Au Canada, le Français s’élance pour la première partie de ce combiné nordique : le saut. Il prend alors la 5^ème place de la compétition avant le ski de fond. Prudent et jamais distancé de la tête, il va aller chercher la victoire après un sprint mémorable devant l’Américain Johnny Spillane. Un champion olympique français de l’épreuve, ce n’était plus arrivé depuis 1992 et Fabrice Guy. Ce dernier était le seul en fait. Deuxième de l’histoire, ça se prend. Pour fêter ça, revivons les derniers mètres, avec Patrick Montel aux commentaires évidemment !

Combine nordique JO d’hiver 2010.

À quelques centaines de mètres de l’arrivée, Jason Lamy-Chappuis (en bleu Marine sur la vidéo) est encore loin du 1er. Il s’offre alors un sprint final de folie. pic.twitter.com/J4Vh3lojYd

— Marvelous (@marvcellier) November 25, 2019

Info : Jay évolue toujours dans les airs aujourd’hui, il est co-pilote chez Air France.

Sophie Clapier

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.