26 janvier 2020 : Kobe Bryant meurt dans un accident d’hélicoptère

BASKET-BALL – C’était un trajet des plus habituels pour Kobe Bryant en ce 26 janvier 2020. Enfin, ça aurait dû être un trajet habituel.

Ça s’est passé le 26 janvier 2020

Ce jour-là, il se rend à la Mamba Sports Academy pour y voir jouer sa fille, présente dans l’hélicoptère avec deux de ses coéquipières. Un trajet qu’il a déjà fait la veille et qui s’est bien passé. Malheureusement, les passagers de ce vol n’arriveront jamais à destination, l’appareil s’écrase. On ne veut pas y croire mais la rumeur se confirme. Les hommages commencent alors pour cette légende du basket. Le monde de la NBA le pleure, le monde entier est en deuil. Kobe, c’est cinq bagues de champion NBA, 18 sélections All-Star, un titre MVP en 2008, deux maillots retirés, 81 points dans un match ou encore 60 pour son dernier. Mais au-delà de tout ça, c’est surtout une mentalité. Si le basket-ball lui a beaucoup donné, Kobe a davantage donné au basket-ball. Alors Mamba out ? Never …

Info : À bord de l’hélicoptère avec Kobe Bryant et sa fille Gianna se trouvaient sept autres passagers, ne les oublions pas : John Altobelli, Keri Altobelli, Alyssa Altobelli, Christina Mauser, Sarah Chester, Payton Chester et Ara Zobayan.

Sophie Clapier

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.