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Escrime

28 octobre 2001 : Anne-Lise Touya, sabreuse en or

Sophie Clapier

Publié le

28 octobre 2001 Anne-Lise Touya, sabreuse en or
Photo Anne-Lise Touya

ESCRIME – En demi-finale des Championnats du monde l’année précédente, Anne-Lise Touya était défaite par Ilaria Bianco. Cette fois-ci, Française et Italienne se retrouvent, mais pour se disputer le titre. Retour sur cette dernière étape… expéditive.

Ça s’est passé le 28 octobre 2001

Malgré la Coupe du monde à son actif, Anne-Lise Touya attend encore une célébration lors des Championnats du monde. Et cette consécration arrive ce 28 octobre 2001 au terme d’une finale à sens unique. Un peu plus d’une minute de jeu, voilà au total le temps de combat nécessaire à la numéro 1 mondiale pour éliminer Ilaria Bianco. Un duel remporté haut la main 15-3, merci d’être venue, au revoir, et une belle revanche contre celle qui était considérée comme sa « bête noire ».

Dans des arènes de Nîmes déchaînées pour la Française, cette dernière a ainsi apporté à la délégation tricolore sa première médaille d’or de ces Mondiaux. Pour la sabreuse, qui avait été déclarée inapte à la pratique sportive quatre ans auparavant, ce n’est que juste récompense. Dans la famille de champions, Anne-Lise Touya rejoint donc ses frères, l’un étant champion olympique, le second, triple champion du monde. En 2005, elle se retrouvera une nouvelle fois sur la plus haute marche du podium mondial.

Info : Ce 28 octobre 2001, c’est son père, Francis Touya, alors vice-président de la Fédération Française d’Escrime, qui lui remet sa médaille d’or.

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.

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