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Histoire

29 décembre 1996 : Nouvelle victoire en descente pour Luc Alphand

Sophie Clapier

Publié le

SKI ALPIN – La fin d’année est là, le froid bien installé, restons sur les pistes enneigées. Aujourd’hui, retour sur la victoire de Luc Alphand lors de la descente de Bormio et le bon début de saison du Français.

Ça s’est passé le 29 décembre 1996

Une semaine plus tôt, Luc Alphand s’imposait déjà sur la neige italienne lors de la première descente de Val Gardena. Le lendemain pour la seconde, c’est sur la deuxième marche du podium qu’il montait. Mais à Bormio, la tâche s’annonce moins évidente, le tracé est traître. Sur une soixantaine de partants, vingt d’entre eux n’arriveront pas en bas. Luc Alphand, si. Agressif sur les skis, le double tenant du petit globe de la spécialité fuse sur la longue piste glacée d’Italie.

D’abord en retard sur Josef Strobl, il récupère quelques dixièmes à chaque intermédiaire. En franchissant la ligne, le compteur indique 2′00″51, une seconde de plus que l’Autrichien. Ce dernier ne monte même pas sur le podium, le Suisse William Besse s’offrant la seconde place devant l’Italien Kristian Ghedina. De son côté, Luc Alphand, avec ce succès, conforte son dossard de leader de la Coupe du monde de descente et termine 1996 de la meilleure des manières.

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Info : Saison 1996-1997 parfaite pour Luc Alphand, qui, en plus de s’adjuger pour la troisième fois le petit globe de la descente, a décroché celui du Super G. Et cerise sur le gâteau, il termine également en tête du classement général, pour 37 points. La récompense d’une saison ponctuée de 9 podiums dont 6 victoires.

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.

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