Arsenal – Rennes : les notes des Bretons

Benjamin André – 4,5 : L’un des Rennais les plus combatifs sur la pelouse de l’Emirates ce soir. Mais cela n’a pas suffi pour peser dans l’entre-jeu. Souvent pris à revers par Özil et Ramsey. De l’envie, et c’est à peu près tout. Remplacé par James Léa-Siliki (78′).

Clément Grenier – 3 : L’ancien Lyonnais a perdu beaucoup de duels et de ballons. Trop vite dépassé par la vitesse londonienne, il n’a pas été au niveau ce soir, alors qu’il faisait figure de joueur expérimenté dans ce genre de rencontre. Remplacé par Adrien Hunou (70′).

Ismaïla Sarr – 4 : Plutôt combatif en début de rencontre, il a ensuite manqué d’agressivité sur son côté droit. Maladroit sur ses prises de balle, notamment en contre (40′, 59′) et dans la surface londonienne (61′). L’un des grands bonhommes du match aller n’a pas confirmé, comme l’ensemble de ses coéquipiers.

Hatem Ben Arfa – 5 : Transparent durant la première demi-heure du match, le meneur de jeu des Rouge & Noir a ensuite touché un peu plus le ballon. Souvent trop imprécis dans un premier temps, avant de mettre le feu durant les 10 dernières minutes dans la défense londonienne, en vain. On ne peut pas dire qu’il n’a pas mis de la bonne volonté.

Benjamin Bourigeaud – 3,5 : Décevant sur son côté gauche, Benjamin Bourigeaud n’a pas pesé sur la rencontre. Son premier centre intéressant intervient à la 66ème minute de jeu, c’est dire. Il est sans doute encore trop tendre pour une rencontre de ce genre.

M’Baye Niang – 4 : L’international sénégalais a beaucoup couru et demandé le ballon. Malheureux sur sa frappe sur le poteau (47′). On pourra lui reprocher sa nonchalance sur certaines actions, dommageable à ce niveau.

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Flo Ostermann

Journaliste/Rédacteur depuis septembre 2015 - Mes premiers souvenirs dans le sport ? Les envolées du Stade Toulousain et les duels Villeneuve-Schumacher et Häkkinen-Schumacher à la fin des années 90, la Coupe du monde de football en 1998, l’exploit du XV de France face aux All Blacks en 1999, mais aussi Richard Cœur de Lion qui vole sur les montagnes du Tour de France. Bien parti pour devenir professeur d’EPS, les événements de la vie (et la flemme d’animer des séances de 3x500 mètres toute ma vie) m’ont conduit à revoir mes plans. Me voilà depuis fin 2017 sur Dicodusport, média grâce (et pour) lequel je partage ma passion : le sport dans tous ses états. Le tout accompagné par les fous furieux et folles furieuses cités sur cette page !