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Basket : Valérie Garnier ne sera plus à la tête de l’équipe de France

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Basket (F) – Ce n’est pas forcément une surprise mais l’équipe de France féminine de basket va changer d’entraîneur. En effet, Valérie Garnier ne continuera pas sa mission après 8 ans de bons et loyaux services.

C’est par un communiqué ce vendredi que la Fédération Française de Basket annonce se séparer de sont entraîneur historique Valérie Garnier, en place depuis 2013. Elle prenait la suite de Pierre Vincent, qui avait dirigé les Braqueuses, notamment aux JO de Londres en 2012. Sous la direction de Valérie Garnier, les Bleues ont remporté 5 médailles internationales (dont 4 médailles d’argent à l’Eurobasket d’affilée) et compilé 75.9% de victoires. Mais aucun titre, qui fuit les tricolores depuis 2009. Les Françaises restent sur deux semis échecs en quelques semaines avec une médaille d’argent à l’Euro et le bronze à Tokyo alors qu’elles ambitionnaient d’être une marche plus haute sur le podium.

Un triumvirat, dont Céline Dumerc, est chargé de définir le nouveau staff de l’équipe en vue des prochaines échéances, que ce soit les qualifications à l’Eurobasket 2023, la Coupe du monde 2022 mais surtout en vue des JO de Paris en 2024 et Los Angeles 2028.

Le Directeur Technique National, Alain Constensoux précise : “Si Valérie Garnier ne sera plus à la tête de l’Équipe de France, nous souhaitons réfléchir à lui confier des missions au sein de la FFBB afin de continuer à profiter de son expertise et de sa capacité à transmettre.”

De son côté, le Président de la Fédération, Jean Pierre Suitat, remercie Valérie Garnier pour son travail : “Je souhaite très sincèrement, de la part de notre grande famille fédérale, féliciter et remercier Valérie pour ces résultats dans le plus haut niveau de constance, ce palmarès exceptionnel et cet investissement et loyauté sans faille au basket français”

Journaliste/rédacteur depuis décembre 2016 - Amateur professionnel de sport, d’abord le football, j’aurais pu en faire mon métier. Mais bon, vous savez les … non, pas les croisés, ils vont bien eux. Juste un manque de talent, de technique et de niveau surtout. Mais cette passion est ancrée en moi telle la pomme dans la tarte tatin. Le côté suiveur/supporter est évidemment important au quotidien, que ce soit un soir de juillet 1998 en banlieue lyonnaise ou de juillet 2018 à Montréal. Car oui, depuis ma France natale, j’ai migré outre-Atlantique, au pays des caribous. Là, le football se joue à la main et non au pied. Et surtout, la religion sportive est plutôt froide et se joue avec une crosse. Non, ce n’est pas le curling ni le Lacrosse, encore que, mais le hockey sur glace. Une autre vision, une autre culture. On troque les crudités devant la télé pour une poutine et on s’installe avec notre chandail pour suivre cela. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ou la vitesse d’un slap shot de McDavid ou un arrêt de la mitaine de Price, j’écris sur de l’actualité par ici mais aussi le sport féminin, pas assez mis en avant.

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