Escrime JO 2024 : L’Américaine Lee Kiefer reste en or au fleuret

ESCRIME JO 2024 – Dans une finale à sens unique, l’Américiane Lee Kiefer conserve son titre au fleuret. Elle dispose de sa compatriote Lauren Scruggs sur le score de 15-6. La Canadienne Eleanor Harvey complète le podium.

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La finale du fleuret féminin oppose deux tireuses américaines. D’un côté, Lee Kiefer, la tenante du titre, en bronze lors des deux derniers championnats du monde, 30 ans, et Lauren Scruggs, qui fait ses 1^ers Jeux Olympiques à 21 ans. Si Lauren Scruggs débute bien le combat, elle ne peut rien contre la championne en titre. Lee Kiefer attaque, contre et domine aisément le match. Elle éparpille son adversaire façon puzzle en un peu plus de deux minutes d’assaut. 15-6, score final, la coupe est pleine. Mais les 2 athlètes se félicitent après leur combat et se retrouveront dans l’épreuve par équipe d’ici à quelques jours.

REPEAT COMPLETE 🥇@leetothekiefer becomes the first U.S. woman to win two Olympic gold medals in individual foil. #ParisOlympics pic.twitter.com/B08sQCrLSl

— Team USA (@TeamUSA) July 28, 2024

Historique pour le Canada

Pour le bronze, l’histoire s’est écrite sous la verrière du Grand Palais. En effet, Eleanor Harvey, originaire d’Hamilton en Ontario, devient la 1ère athlète du Canada a remporté une médaille en escrime. Elle s’est défait de l’Italienne Alice Volpi, double championne du monde en titre. La Canadienne domine le début de match et mène 9-4 après la 1ère manche. L’Ontarienne a su faire le dos rond dans la 2ème manche et résister à la Transalpine pour marquer l’histoire du sport canadien en s’imposant 15-12.

Eleanor Harvey has become #TeamCanada’s first ever Olympic medallist in fencing!! 💥💥💥

The 29-year-old won the bronze medal in the women’s individual foil event. https://t.co/vbDztLDAjp

— Team Canada (@TeamCanada) July 28, 2024

Journaliste/rédacteur depuis décembre 2016 - Amateur professionnel de sport, d’abord le football, j’aurais pu en faire mon métier. Mais bon, vous savez les … non, pas les croisés, ils vont bien eux. Juste un manque de talent, de technique et de niveau surtout. Mais cette passion est ancrée en moi telle la pomme dans la tarte tatin. Le côté suiveur/supporter est évidemment important au quotidien, que ce soit un soir de juillet 1998 en banlieue lyonnaise ou de juillet 2018 à Montréal. Car oui, depuis ma France natale, j’ai migré outre-Atlantique, au pays des caribous. Là, le football se joue à la main et non au pied. Et surtout, la religion sportive est plutôt froide et se joue avec une crosse. Non, ce n’est pas le curling ni le Lacrosse, encore que, mais le hockey sur glace. Une autre vision, une autre culture. On troque les crudités devant la télé pour une poutine et on s’installe avec notre chandail pour suivre cela. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ou la vitesse d’un slap shot de McDavid ou un arrêt de la mitaine de Price, j’écris sur de l’actualité par ici mais aussi le sport féminin, pas assez mis en avant.