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Escrime JO 2024 : L’Ukraine en or au sabre féminin par équipes

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Escrime JO 2024 L'Ukraine en or au sabre féminin par équipes
Photo Icon Sport

Escrime JO 2024 – Après un duel serré en finale, l’équipe d’Ukraine se pare d’or après sa victoire sur la Corée du Sud 45-42. Olga Kharlan a été monstrueuse pour offrir le titre à son pays. Le Japon a remporté la médaille de bronze plus tôt en battant la France pour la 3ème place.

Finale un peu inattendue en sabre féminin. Si la France était attendue, notamment avec deux tireuses en or et en argent en simple, elle a complètement coulé en demi-finale contre les Sud-Coréennes. Ces dernières retrouvent les Ukrainiennes pour le duel final.

Le début du duel est assez serré entre les sabreuses. Aucune équipe ne se détache de plus de 2 points et les assauts sont disputés. Le 1er écart survient pendant le 4ème affrontement quand Eunhye Jeon porte l’avance des Sud-Coréennes à 6 points. Et quand elles sont en avance aux points, elles sont redoutables, comme les françaises peuvent en témoigner. Mais Olga Kharlan sonne la charge face à Sebin Choi et revient à 2 points. Tout reste à faire avant les quatre duels.

Olga Kharlan superstar

Et au début du 7ème assaut, Yulia Bakastova remet les 2 équipes à 31 partout. Même si la charge ukrainienne se fait présente pour rester au contact, l’équipe du pays du matin calme parvient toujours à remettre 2 ou 3 touches pour rester devant. Et tout va se jouer au duel décisif entre Hayoung Jeon et Olga Kharlan avec trois touches d’avance pour la Corée du Sud. Et Kharlan, très en forme ce soir, revient à 42 partout dans une ambiance de folie au Grand Palais. Et elle ne s’arrête pas et va chercher les 3 points manquants pour offrir le titre à son pays. Elle a été injouable tout au long du match, remportant 22 points ! Difficile pour la Corée qui a mené tout le match, mais s’incline sur le dernier relais.



Journaliste/rédacteur depuis décembre 2016 - Amateur professionnel de sport, d’abord le football, j’aurais pu en faire mon métier. Mais bon, vous savez les … non, pas les croisés, ils vont bien eux. Juste un manque de talent, de technique et de niveau surtout. Mais cette passion est ancrée en moi telle la pomme dans la tarte tatin. Le côté suiveur/supporter est évidemment important au quotidien, que ce soit un soir de juillet 1998 en banlieue lyonnaise ou de juillet 2018 à Montréal. Car oui, depuis ma France natale, j’ai migré outre-Atlantique, au pays des caribous. Là, le football se joue à la main et non au pied. Et surtout, la religion sportive est plutôt froide et se joue avec une crosse. Non, ce n’est pas le curling ni le Lacrosse, encore que, mais le hockey sur glace. Une autre vision, une autre culture. On troque les crudités devant la télé pour une poutine et on s’installe avec notre chandail pour suivre cela. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ou la vitesse d’un slap shot de McDavid ou un arrêt de la mitaine de Price, j’écris sur de l’actualité par ici mais aussi le sport féminin, pas assez mis en avant.

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