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Biathlon

IBU Cup Otepää : L’équipe de France termine la saison avec un succès sur le relais mixte simple

Sophie Clapier

Publié le

IBU Cup Otepää L’équipe de France termine la saison avec un succès sur le relais mixte simple
Photo Osula/IBU

IBU CUP 2024/2025 – L’équipe de France ne pouvait pas mieux terminer la saison. Théo Guiraud-Poillot et Gilonne Guigonnat monte sur la plus haute marche du relais mixte simple.

L’équipe de France avait attaqué la saison par un doublé féminin sur le sprint d’Idre Fjäll, et une médaille de bronze sur le même format masculin. Elle termine comme elle avait commencé, montant encore une fois sur le podium. Et même sur la plus haute marche, mais sur une course collective cette fois, le relais simple mixte. Forts d’un 10/10 à mi-course, Théo Guiraud-Poillot et Gilonne Guigonnat ont mené les débats du début à la fin.

Avec une avance confortable sur leurs plus proches concurrents, le Français s’est un peu relâché lors de son deuxième passage mais pointait toujours en tête au moment de donner le témoin à sa partenaire pour la dernière boucle. Un ultime relais parfaitement géré par Gilonne Guigonnat, auteure d’une seule pioche aujourd’hui. Dans leur dos, l’Allemagne et la Norvège complètent le podium. Voilà une saison qui s’achève on ne peut mieux pour l’équipe de France.

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.

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