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Champions Cup 2021-2022

Leinster – La Rochelle : Les notes des Rochelais

Flo Ostermann

Publié le

Leinster - La Rochelle Les notes des Rochelais
Photo Icon Sport

CHAMPIONS CUP 2021-2022 – Héroïque, La Rochelle a renversé le Leinster ce samedi (21-24) pour remporter son premier titre européen. Les notes des Rochelais.

Les avants

Dany Priso – 6

Le + : Un ballon gratté en face des poteaux du Leinster dès la reprise du jeu en deuxième période, et une tenue en mêlée intéressante face à un Furlong certes diminué.

Le – : 4 pénalités concédées (!) et peu d’apport dans le jeu courant (2 mètres parcourus avec la gonfle).



En bref : Un match solide dans les fondamentaux, mais une indiscipline folle à ce niveau. Heureusement, cela n’a pas porté préjudice aux Rochelais. Remplacé par Reda Wardi (54′).

Pierre Bourgarit – 8,5

Le + : Symbole de son match incroyable, son ballon gratté (60′) et son essai sur un ballon porté (63′), le tout en trois minutes donc. Autrement, il a été omniprésent et débordant d’énergie. 43 mètres parcourus avec le ballon et deux défenseurs battus à son actif, en plus d’une prestation défensive propre (6 plaquages réussis).

Le – : –

En bref : S’il est toujours plein d’envie sur le terrain, il a parfois tendance à se montrer indiscipliné. Ce samedi, il a été propre sur toutes ses interventions, sans sortir de son match. Énorme ! Remplacé par Facundo Bosch (67′).

Uini Atonio – 7

Le + : Sa disponibilité (8 ballons d’attaque touchés), et sa mobilité. Une grosse débauche d’énergie dans le jeu courant, marquant au fer rouge la défense irlandaise, grâce à des charges monstrueuses.



Le – : Pénalisé une fois près de la ligne d’en-but des Leinstermen, et coupable d’un en-avant sur action importante des Rochelais, en annihilant une passe de West (58′).

En bref : De la générosité à revendre, et un travail important pour marquer la défense irlandaise. Avec réussite. Remplacé par Joel Scalvi (63′).

Thomas Lavault – 4,5

Le + : Propre et présent dans le combat jusqu’à l’heure de jeu, avant de se rendre coupable d’un geste inutile.

Le – : Un croche-patte sur Gibson-Park (65′), une erreur de cadet, qui aurait pu ruiner les espoirs rochelais.

En bref : Une faute sans conséquence à 15 minutes de la fin du match. Mais quand même, quel manque de lucidité… Remplacé par Romain Sazy (76′).

Will Skelton – 8

Le + : Match plein de la part du géant rochelais. Durant 80 minutes, il a été déterminant. Défensivement d’abord, en finissant la rencontre avec 7 plaquages et un ballon gratté, tout en étant un poison dans les rucks défensifs. Offensivement, il est le deuxième joueur des Jaune et Noir à avoir touché le plus de ballons d’attaque (17), pour deux défenseurs battus.

Le – : –

En bref : Un volume de jeu exceptionnel.

Wiaan Liebenberg – 6,5

Le + : Comme souvent, il a terminé meilleur plaqueur rochelais ce samedi (13). Un ballon gratté importantissime avant l’heure de jeu alors que les Leinstermen mettaient la pression dans les 22 mètres des Maritimes.

Le – : Pénalisé à trois reprises.

En bref : Le sécateur rochelais a encore fait des merveilles.

Matthias Haddad – 7,5

Le + : Lui aussi a découpé ce samedi sur le terrain du Stade de France, avec 11 plaquages réussis. Son volume de jeu a été impressionnant, annihilant plusieurs actions du Leinster, dont une sur sa ligne d’en-but. Il vole un ballon en touche déterminant à l’heure de jeu. Bref, il a été partout, et ce durant 80 minutes !

Le – : –

En bref : Entre Liebenberg et lui, il ne pouvait rien arriver au Stade Rochelais samedi.

Gregory Alldritt – 8

Le + : XXL, comme toujours cette saison en Coupe d’Europe. 22 ballons joués à la main et des charges rageuses aux 4 coins du terrain. Même arrêté, il a fait mal aux avants du Leinster. Défensivement, il s’est distingué par 8 plaquages réussis et un ballon récupéré.

Le – : Deux en-avants.

En bref : On ne comprend toujours pas pourquoi il n’a pas été élu joueur européen de l’année…

Les notes de la charnière et des trois-quarts

Journaliste/Rédacteur depuis septembre 2015 - Mes premiers souvenirs dans le sport ? Les envolées du Stade Toulousain et les duels Villeneuve-Schumacher et Häkkinen-Schumacher à la fin des années 90, la Coupe du monde de football en 1998, l’exploit du XV de France face aux All Blacks en 1999, mais aussi Richard Cœur de Lion qui vole sur les montagnes du Tour de France. Bien parti pour devenir professeur d’EPS, les événements de la vie (et la flemme d’animer des séances de 3x500 mètres toute ma vie) m’ont conduit à revoir mes plans. Me voilà depuis fin 2017 sur Dicodusport, média grâce (et pour) lequel je partage ma passion : le sport dans tous ses états. Le tout accompagné par les fous furieux et folles furieuses cités sur cette page !

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