Quiz anniversaires : 15 janvier 2018

Aujourd’hui, aucune excuse possible, vous êtes dans l’obligation de trouver ne serait-ce qu’une personnalité sportive du quiz. Oui, c’est une obligation car légende de la petite balle jaune. Je n’en dis pas plus, on commence tout de suite.

Joueuse de tennis, j’ai deux nationalités. Je vais les garder un peu pour moi, place à mon palmarès. Je m’adjuge l’Open d’Australie en 1995 et Roland-Garros en 2000. La même année, et toujours aux Internationaux de France, je suis également sacrée en double dames. En 2005, j’ajoute Wimbledon à mes titres, en double mixte. Ayant plus de 500 victoires en carrière, je suis l’une des très rares … françaises à avoir remporté un Grand Chelem. Oui, j’ai décidé de défendre les couleurs tricolores, notamment en Fed Cup mais je suis aussi américaine. Easy n’est-ce pas? Voici, comme réponse, une vidéo d’un de mes points légendaires.

Avec pas moins de 105 sélections en équipe d’Écosse de rugby à XV, je suis le troisième joueur le plus appelé par mon pays. En 2000, je débute avec les Rotherham Titans. J’y reste trois ans puis rejoins Glasgow Rugby (aujourd’hui Warriors). Passé par d’autres clubs entre temps, je retrouve cette équipe des Warriors en 2012 avec qui je suis finaliste en la Pro 12 (aujourd’hui 14) en 2014. La victoire se fait l’année suivante. J’ai disputé onze tournois des VI nations et trois Coupes du Monde. Mars 2017 : j’annonce prendre ma retraite après une dernière saison chez les Warriors. Mon frère, Rory, est lui aussi rugbyman.

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Sean Lamont sous ses couleurs nationales – B.Papon / L’Équipe

Une petite saison de formation à l’Espanyol Barcelone puis me voilà chez le voisin, le FC Barcelone. Coaché alors par Pep Guardiola (vous savez donc que je suis footballeur), je fais mes débuts en Liga avec l’équipe première en 2010. Je ne quitte le Barça qu’en 2016, en ayant mis dans mes bagages le Championnat et la Coupe d’Espagne, mais aussi la Ligue des Champions à deux reprises. Depuis, au Borussia Dortmund, j’ai déjà acquis la Coupe d’Allemagne. S’il m’arrive de marquer, mon rôle est surtout défensif. Il me reste un titre majeur à décrocher avec mon équipe nationale, l’Espagne.

Boxeur américain, je ne suis pas passé par les rangs amateurs. Dans la catégorie des poids moyens, je gagne tout sur mon passage. Avec quinze combats pour autant de victoires entre 1990 et 1991, je suis logiquement là pour être champion des États-Unis 1992. Après un combat contre Wayne Powell d’un petit round, c’est chose faite, le titre est à moi. Et ce titre, je vais le conserver l’année suivante. Côté Championnats du Monde, on ne peut mieux ! Champion du monde pendant dix années consécutives, de 1995 à 2005, c’est simple, j’ai à mon actif les quatre ceintures des quatre grandes fédérations (IBF, WBC, WBA, WBO). Passé dans la catégorie des mi-lourds en 2005, je deviens le boxeur le plus âgé à être sacré champion du monde dans cette catégorie. Je bats mon propre record en 2013, alors âgé de 48 ans.

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Infatigable, Bernard Hopkins – Sports Net

Que le temps passe vite, c’est déjà terminé. Après avoir souhaité un bon anniversaire à Marius Trésor et Greg Inglis, respectivement footballeur et rubgyman, il est temps pour moi de vous laisser. Je vous retrouve demain pour de nouvelles célébrités à découvrir.

Sophie Clapier

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.