Quiz anniversaires : 29 janvier 2018

Attention, plus que quelques jours pour souhaiter la bonne année. Ce qui signifie également plus que quelques jours avant la fin du quiz quotidien de janvier. C’est que le temps passe. Mais il reste encore quelques anniversaires à souhaiter en ce début d’année. C’est à vous de jouer !

Pilote automobile, je deviens en 2005 le premier champion du monde de Formule 1 de l’histoire de mon pays, l’Espagne. Je courais alors sous les couleurs de Renault. Ce titre, je le conserve l’année suivante avec la même écurie. Après un passage chez McLaren en 2007 et un retour à Renault un an plus tard, je rejoins Ferrari en 2010. Pour ma première course dans ma nouvelle équipe, je remporte le Grand Prix inaugural de la saison. Cinq saisons et onze victoires plus tard, me revoilà chez McLaren. J’ai participé aux 500 Miles D’Indianapolis ; bien lancé, je dois abandonner à quelques tours de l’arrivée. J’étais ce week end aux 24H de Daytona et mon objectif est clair : participer aux 24H du Mans en juin prochain.

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Problème technique aux 24H de Daytona pour Fernando Alonso, mais ce n’est que le début en course d’endurance pour le pilote espagnol – Le10sport

Footballeur, je remporte rapidement mes premiers titres avec le Vasco de Gama et avec l’équipe nationale juniors. Cela me permet d’obtenir une place dans la Seleçao et d’être finaliste aux Jeux de Séoul 1988, terminant même meilleur buteur de la compétition. En 1994, lors de la Coupe du Monde, je participe grandement à la victoire du Brésil après 24 ans d’attente. Je reçois le titre de joueur de l’année et deviens le premier Brésilien à m’emparer de la distinction. Passé par le PSV Eindhoven avec qui je récupère six titres en cinq saisons, j’exprime tout mon talent au FC Barcelone. Champion d’Espagne 1994 et de nouveau meilleur buteur, j’ai ensuite enchaîné les équipes. Je suis aujourd’hui sénateur fédéral de Rio de Janeiro.

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La consécration pour Romario en Coupe du Monde – TheIndependant

Basketteur, je débute ma carrière en Espagne, au FC Barcelone. Je suis avec ce club champion d’Espagne 2004. Après deux ans à Gérone, direction les bancs de la NBA où évolue également mon frère. Drafté en 2007 par les Lakers, je rejoins finalement le franchise des Grizzlies, et j’y suis encore à ce jour. Elu défenseur de l’année 2013, j’ai été All-Star à trois reprises. Avec mon frangin, Pau, je suis champion du monde 2006, champion d’Europe 2009 et 2011 mais aussi vice-champion olympique 2008 et 2012.

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10 ans que Marc Gasol joue pour les Grizzlies – Bigplay

Plongeur américain, je suis considéré comme l’un des plus grands sportifs de ma discipline. Avec 47 titres nationaux et cinq titres de champions du monde, mon palmarès ne s’arrête pas là. Lors des Jeux Olympiques de Los Angeles 1984, je réalise le doublé tremplin à 3 mètres et haut vol (10m). Je réitère l’exploit quatre ans plus tard à Séoul même si ma tête vient heurter le tremplin lors d’un saut. Je met un terme à ma carrière à la suite de ces Jeux, non sans avoir marqué l’histoire de ce sport.

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Greg Louganis fêtent ses 58 ans – Shm

Qui dit quiz terminé, dit encore quelques anniversaires à fêter. Happy birthday aux tricolores Stéphanie Brieussel et Marie Laure Delie. L’une est cavalière, la seconde footballeuse. Toutes deux ont représenté la France aux Jeux de Rio. Je vous donne rendez-vous demain pour le quiz … du 30 janvier.

Sophie Clapier

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.