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Rolex Paris Masters 2024 : Ugo Humbert s’offre Carlos Alcaraz !

Alice Camus

Publié le

Rolex Paris Masters 2024 Ugo Humbert s'offre Carlos Alcaraz !
Photo Icon Sport

ROLEX PARIS MASTERS 2024 – Après un match de folie contre Carlos Alcaraz, Ugo Humbert s’est imposé 6-1, 3-6, 7-5. Le Français rejoint les quarts de finale à Bercy.

Troisième français en lice aujourd’hui, Ugo Humbert tentait de devenir le premier Français à se qualifier en quarts de finale de ce Rolex Paris Masters 2024. Il affrontait Carlos Alcaraz, grand favori depuis le forfait de Jannik Sinner. Mais vainqueur à Roland, l’Espagnol n’a jamais triomphé à Bercy.

Premier au service, Ugo Humbert s’offre un jeu blanc. Il break une première fois sur le service d’Alcaraz, puis une deuxième (4-0). Le Français est en folie, et remporte en cinquième jeu. Carlos Alcaraz débloque son compteur après plus de vingt minutes de jeu. Cela n’empêche pas le Français de remporter le set (6-1)

Début du deuxième set, Carlos Alcaraz rentre dans le match. Ugo Humbert sauve trois balles de break sur son service (2-2), mais la tendance s’est inversée. L’Espagnol ne laisse aucune chance au Français et remporte le deuxième set (6-3). Le match est relancé.

Alors que les deux joueurs ont chacun eu leur moment fort, le troisième set est plus disputé. Humbert commet moins de faute, et Alcaraz remet presque toutes ses balles. Les échanges sont plus longs (4-4), et le le match reste très disputé (5-5).

Le Français sort de gros points, alors que le niveau de jeu est encore monté d’un cran. Ugo Humbert continue sur sa lancée, et s’offre deux balles de match. La deuxième est la bonne. Le numéro 1 français ira en quart de finale à Bercy.

Rédactrice depuis 2023 — Tombée amoureuse du sport auto après avoir déménagé aux Pays-Bas, (l'effet Verstappen, dit-on) mais fidèle à Alpine depuis les premiers jours. (Ex-)Nageuse et skieuse à mes heures perdues, mon rythme de vie est bien calé : LDC le mardi, Top 14 le samedi, et Grand Prix le dimanche. Sans oublier le XV en février, Roland en juin, et le biathlon à Noël. Ma désillusion de jeunesse : une certaine finale de coupe du monde perdue 7-8 un matin de septembre.

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