Squash : Sébastien Bonmalais échoue en finale du Cleveland Skating Club Open

SQUASH FRANCAIS – Il n’y a pas eu de miracle pour Sébastien Bonmalais. Malgré une belle résistance, le Tricolore n’aura pas réussi à renverser le favori Eain Yow Ng, et s’incline en quatre manches en finale.

La belle semaine de Sébastien Bonmalais au Cleveland Skating Club Open n’aura pas trouvé de conclusion parfaite. Le Français a tout tenté, mais il a dû se résoudre à rendre les armes contre Eain Yow Ng en finale. Mais le Tricolore pourra avoir des regrets, tant il a parfois fait vaciller le Malaisien.

Bonmalais un peu court

Cela a commencé dans la première manche. Mené 7-3, Sébastien Bonmalais a enchaîné cinq points consécutifs pour prendre les commandes. Son rival est resté solide et a empoché la manche de justesse. Mais le Français a vu comment gêner son adversaire, et cela s’est traduit par une deuxième manche à sens unique en sa faveur. La troisième manche s’avérait cruciale, et a été tendue, jusqu’à ce que le Malaisien accélère pour obtenir trois balles de set. Au prix d’un bel effort, le Français en sauvera deux, mais devra se résoudre à lâcher la manche. Avant de craquer complètement dans la quatrième, harassé par tant d’efforts.

Eain Yow Ng s’impose 11-9, 6-11, 11-9, 11-3 et remporte le Cleveland Skating Club Open. Dommage pour Sébastien Bonmalais, qui ne remportera donc pas son septième titre en carrière sur le circuit PSA. Mais il a prouvé par ses performances en quarts et en demi-finales qu’il évoluait à un excellent niveau. Cela ne demande qu’à être confirmé pour le voir garnir son armoire à trophées, et ainsi prolonger la bonne passe du squash français.

John Stockton, Gianni Bugno, Zinedine Zidane, Steffi Graf, Frode Andresen, Stéphane Stoecklin, Davis Kamoga, Primoz Peterka, Werner Schlager et Aurélien Rougerie. Point commun entre ces sportifs? Ils m'ont fait rêver et ont bercé mon adolescence. Je suis un fondu de sports et j'essaie de retranscrire ma passion à travers mes articles. Originaire du Périgord, ma passion pour les Girondins, les Jaunards et les Jazzmen transpire dans mes écrits.