Top Chef épisode 10 : les notes de la rédaction

On appelle ça un match référence. Arnaud Donckele et la boîte noire, Gilles Goujon et la brigade des chefs, voilà l’épisode magistral qui nous manquait. Top Chef épisode 10 c’est par ici, avec les notes qui vont bien tintin !

Les hommes du match

Pierre (10) partait avec un sacré pneu crevé. Puisque si l’ADN du PSG est de prendre des buts d’un joueur parti du club, celle de Top Chef est de faire éliminer par un chef un candidat passé par sa brigade. Malheur pour Pierre, il était passé par les cuisines d’Arnaud Donckele. Le chef trois macarons l’a pourtant sélectionné seul parmi 7 candidats. Masterclass.

Mohamed (7) a fait voyager Arnaud Donckele. Il a osé ce qu’AD n’aurait lui-même pas osé avec son association poissons de roche, oursins et poulet. Un coup de cœur pour la sauce, pas pour le plat. Dans l’épreuve de la boîte noire de Gilles Goujon, il profite de la maitrise de Etchebest et Darroze pour se qualifier. Filou.

Arnaud (7) a fait voyager Donckele mais n’a pas résisté à la volaille de frappe de Pierre. Parti sur une très mauvaise idée dans la boîte noire, il ressort coup de cœur en dernière chance avec ses panais. Il muscle son jeu Nono !

Les supersubs de Top Chef épisode 10

Bruno (6) s’est pris pour Diego de l’an passé qui plaçait du piment partout. Résultat, Donckele est reparti chez lui avec des relents de chorizo. Heureusement, dans la boîte noire il a orienté parfaitement son équipe vers la victoire.

Sarah (6) a une nouvelle fois montré ses limites techniques dans l’épreuve des sauces en deux textures. Dans la boîte noire, elle a profité du travail de ses coéquipiers et des chefs Darroze et Etchebest pour se qualifier.

Matthias (5) doit sa qualification à un fil infime. Un peu plus d’agrumes dans son assiette de dernière chance et c’était fichu. Dans les deux premières épreuves, il avait été plus qu’en demi-teinte. Il ne confirme pas dans ce Top Chef épisode 10 les espoirs des derniers épisodes.

Il a bouffé la feuille de match

Baptiste (4) avait pourtant séduit Arnaud Donckele avec ses trois sauces. Malheureusement, Pierre et sa volaille ont bien plus brillé. En dernière chance, son topi porte-bonheur n’a pas réussi à le garder en vie dans le concours. Il était pourtant le candidat le plus sympathique de l’année. Tant pis…

JMPPMJ

Journaliste/rédacteur depuis mai 2018 - Dans mon sang coule à la fois le feu des penne à l'arrabiata et la glace du Grand Colombier. Amoureux des belles lettres et des Talking Heads, je supporte un club olympique. Intéressé par les relations qu'entretient le sport avec la société, je m'intéresse autant à Marc Cécillon qu'à Pep Guardiola, à Tonya Harding qu'à Philipp Roth. Enfant des 90's, on ne me fera pas croire qu'il y a eu plus beau à voir depuis Zinédine Zidane, Marco Pantani et Pete Sampras. La béchamel est une invention du diable, la Super Ligue aussi.