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Insolite

Top Chef épisode 12 : les notes de la rédaction

Jordane Mougenot-Pelletier

Publié le

Photo Capture d'écran M6

Les choses sérieuses peuvent commencer : la phase finale de Top Chef a commencé. En huitième de finale ce soir, deux candidats ont sorti des plats du turfu. On retrouve les notes de Top Chef épisode 12 ici.

Ils ont marqué 3 buts à l’extérieur

On aurait pu croire que Pierre (10) nous a lus la semaine dernière si l’émission n’était pas enregistrée de longue date. On lui souhaitait de passer la vitesse supérieure et voilà qu’il claque une qualification dès la première épreuve. Sa triple cuisson de la langoustine a surpris Alexandre Mazzia. Chapeau.

Matthias (8000) a réalisé ce que les chefs ont qualifié de plat de l’année. Et on voudrait bien les croire ! Matthias a décomposé une tartelette en 5 goûts, les 5 goûts constitutifs de la dite tartelette mais poussés à l’excès. Tout cela pour trouver la complétude parfaite, l’équilibre général de l’univers. Comme le Yin et le Yang, la terre et le ciel, le Benzema et le Giroud, le Pierre et le Jo. Chapeau pour l’unanimité !

Ils passent Top Chef épisode 12

Sarah (6) a emmené les chefs se balader en forêt. Dépourvus de feu – on imagine une pandémie mondiale qui aurait mis le monde sens dessus dessous – ils ont dû se fader le chevreuil cru. On n’a pas pu s’empêcher d’imaginer les yeux de Bambi en voyant les chefs s’en délecter. Pas de quoi les impressionner puisqu’ils ont choisi Sarah après Matthias.

Mohamed (5) a encore une fois eu chaud, mais cette fois pas parce qu’il a fait cramer la cuisine. Ses cinq cuissons n’ont pas impressionné Alexandre Mazzia ; pas plus que son retour en enfance dans l’épreuve made in Pairet. Il lui a donc fallu passer par la dernière chance. Son assiette d’agrumes a explosé le palais des chefs qui le qualifient.

Il s’arrête en huitième

Bruno (4) s’en va cette fois pour de bon. Celui qui avait fait un come-back somme toute réussi, n’est pas parvenu à passer Top Chef épisode 12. Le candidat était sympathique, mais sans maîtrise, la puissance n’est rien. Technicien de grand talent, il n’a pas su passer la seconde côté créativité. Dommage, on l’aimait bien…

Journaliste/rédacteur depuis mai 2018 - Dans mon sang coule à la fois le feu des penne à l'arrabiata et la glace du Grand Colombier. Amoureux des belles lettres et des Talking Heads, je supporte un club olympique. Intéressé par les relations qu'entretient le sport avec la société, je m'intéresse autant à Marc Cécillon qu'à Pep Guardiola, à Tonya Harding qu'à Philipp Roth. Enfant des 90's, on ne me fera pas croire qu'il y a eu plus beau à voir depuis Zinédine Zidane, Marco Pantani et Pete Sampras. La béchamel est une invention du diable, la Super Ligue aussi.

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