20 décembre 1983 : Le trophée de la Coupe du monde disparaît, encore !

FOOTBALL – La Coupe Jules Rimet a déjà été volée. C’était en Angleterre, lors d’une exposition en 1966. Elle avait été retrouvée une semaine plus tard dans un parc londonien grâce au flair d’un chien. Malheureusement depuis ce nouveau vol en 1983, personne n’a pu remettre la main sur le trophée.

Ça s’est passé le 20 décembre 1983

Après sa troisième victoire en Coupe du monde en 1970, le Brésil a pu conserver la Coupe Jules Rimet. Placée bien à l’abri -normalement- au siège de la Confédération brésilienne de football, voilà qu’elle a une nouvelle fois disparu. Ou plutôt, elle a encore été volée. Si la Coupe était protégée par une vitre pare-balles, il a suffi d’un pied de biche aux malfaiteurs pour casser le coffrage arrière, ce dernier étant en bois. La coupe représentant la déesse grecque de la victoire, Niké, pesait plus de 6 kilos. Faite d’argent et recouverte d’or, elle est pressentie comme ayant été revendue car, malheureusement, elle n’a jamais refait surface. Quant aux voleurs, comme la Victoire Ailée, n’ont jamais été retrouvés.

Info : Pas de panique néanmoins pour les champions du monde. Depuis 1970 déjà et l’acquisition définitive du Brésil de la Coupe Jules-Rimet, un nouveau trophée était décerné aux vainqueurs. Et celui-là, il est toujours d’actualité.

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.