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Football

7 mai 2006 : Arsenal dit adieu à son stade d’Highbury

Sophie Clapier

Publié le

7 mai 2006 - Arsenal dit adieu à son stade d’Highbury
Photo Premier League

FOOTBALL – Les Gunners ont tout connu dans l’enceinte d’Highbury. Les joies, les peines, tout s’est mélangé pour les joueurs et pour les fans de l’équipe. Et en ce 7 mai 2006 les émotions fortes sont encore au rendez-vous, c’est la dernière dans ce stade.

Ça s’est passé le 7 mai 2006

Trop petit pour répondre à l’engouement des spectateurs, un nouveau projet est lancé : l’Emirates Stadium. Dernière rencontre à Highbury donc pour Arsène Wenger et ses joueurs, un décompte est même lancé avant la fermeture du site. Les Gunners s’imposent 4-2 avec quatre buts signés par des Français. C’est Robert Pirès qui lance la marche peu avant la dixième minute. Si le Wigan Athletic égalise quelques instants après puis prend l’avantage, Thierry Henry y va, lui, de son triplé. Menant puis menés, les Gunners renversent le match et disent au revoir à leur stade comme il se doit. Une victoire célébrée par les supporters présents portant un maillot à mention spéciale pour l’occasion.

Info : Seules deux façades ont été conservées après démolition du stade. Aujourd’hui, un complexe résidentiel se trouve à la place de l’enceinte et si vous y passez, vous trouverez un parc où se situait la pelouse.

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.

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