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Basket-ball

EuroLigue (J27) : L’ASVEL chute contre le Panathinaïkos malgré une belle résistance

Sébastien Gente

Publié le

EuroLigue (J27) L'ASVEL chute contre le Panathinaïkos malgré une belle résistance
Photo Icon Sport

EUROLIGUE 2024-2025 – D’abord surclassé, l’ASVEL a progressivement haussé son niveau, mais il en manquait encore un peu pour renverser le champion d’Europe en titre.

Cette campagne d’EuroLigue de l’ASVEL était bien meilleure que les précédentes. Plus d’envie, un niveau de jeu supérieur, une équipe mieux bâtie et plus efficace, mais il manquait encore quelques victoires pour jouer réellement dans la cour des grands. À huit matchs du terme, il fallait gagner pour conserver une hypothétique chance de playin, mais la rencontre du soir, contre le Panathinaïkos, champion d’Europe en titre, s’annonçait atrocement compliquée.

Si proche, si loin

Et très vite, les Grecs se sont installés aux commandes du match, derrière un Kendrick Nunn qui a rapidement pris feu. 10 points dans le premier quart pour le meneur américain, et très vite, l’avance enflait jusqu’à monter à 17 longueurs. Avant que l’ASVEL ne rentre enfin dans son match. La jeune garde, menée par Neal Sako et également une précision diabolique de Melvin Ajinça derrière l’arc, les Lyonnais revenaient dans le match, mais à la pause, il y avait encore du chemin à faire pour réaliser l’exploit (44-54).

À la reprise, l’ASVEL avait meilleure mine, et semblait en mesure de réaliser l’exploit. Restant à portée de tir, les Lyonnais passaient la vitesse supérieure dans le dernier quart, Ajinça se démultipliant pour ramener les siens à hauteur à 5 minutes du terme. Le match devenait alors tactique, stratégique, voire électrique. Mais il allait tout de même tomber dans l’escarcelle grecque, Kendrick Nunn retrouvant de sa superbe et l’expérience du Pana faisant clairement la différence dans une fin de match tendue. Bien qu’ayant eu sa chance jusqu’au bout, l’ASVEL s’inclinant 93-96. Dommage, les Lyonnais étaient au niveau, mais il manque encore un petit quelque chose pour réellement jouer le haut de tableau. Il reste sept matchs pour franchir ce cap en vue des saisons à venir.

John Stockton, Gianni Bugno, Zinedine Zidane, Steffi Graf, Frode Andresen, Stéphane Stoecklin, Davis Kamoga, Primoz Peterka, Werner Schlager et Aurélien Rougerie. Point commun entre ces sportifs? Ils m'ont fait rêver et ont bercé mon adolescence. Je suis un fondu de sports et j'essaie de retranscrire ma passion à travers mes articles. Originaire du Périgord, ma passion pour les Girondins, les Jaunards et les Jazzmen transpire dans mes écrits. À Dicodusport depuis 2021, je déniche les sports méconnus dans lesquels la France brille, et il y en a !

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