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Top 14 2021-2022

Finale Top 14 : Les notes de Castres – Montpellier

Flo Ostermann

Publié le

Finale Top 14 Les notes de Castres - Montpellier
Photo Icon Sport

FINALE TOP 14 2021-2022 – Vendredi soir, Montpellier a décroché son premier Bouclier de Brennus en dominant Castres en finale (10-29). Les notes de ceux qui ont brillé ou déçu.

Les notes de Castres

Il a été au niveau

Tom Staniforth – 5,5

Le + : 22 courses avec le ballon et meilleur plaqueur du CO (11/13).

Le – : Pénalisé à une reprise et sur la corde physiquement au fur et à mesure de la rencontre.

En bref : Le seul joueur castrais au niveau ce vendredi soir.

Ils ont déçu

Teariki Ben-Nicholas – 2,5

Le + : 29 mètres gagnés avec le ballon, mais sans faire les différences nécessaires.

Le – : Trois ballons perdus (31′, 35′ et 76′), sur des phases de jeu différentes (touche, renvoi et ballon arraché), mais aussi pénalisé à deux reprises. Dans le combat, il a souffert continuellement. Bref, une prestation bien insipide pour le Néo-Zélandais.

En bref : On n’est pas loin du cauchemar.

Filippo Nakosi – 3

Le + : 72 mètres avec le ballon et 3 défenseurs battus, mais…

Le – : … mais que de maladresses au moment d’être décisif. Il perd trois ballons sur ce match, dont deux sur des en-avant dommageables. Pénalisé à une reprise pour avoir gardé le ballon au sol, il n’a jamais pu être le détonateur habituel de l’attaque tarnais.

En bref : Frustrant pour Nakosi, et pour le CO.

Geoffrey Palis – 3

Le + : 65 mètres avec le ballon et deux défenseurs battus, tout de même.

Le – : Autrement, Palis a vécu une soirée bien délicate. Son coup de pied absolument suicidaire, une sorte de coup du sombrero (oui oui) débouche sur le premier essai héraultais (6′). S’il n’a hésité à relancer, il a, au fil du match, souffert physiquement, face à la densité héraultaise.

En bref : Une erreur qui coûte beaucoup trop cher.

Les notes de Montpellier

Journaliste/Rédacteur depuis septembre 2015 - Mes premiers souvenirs dans le sport ? Les envolées du Stade Toulousain et les duels Villeneuve-Schumacher et Häkkinen-Schumacher à la fin des années 90, la Coupe du monde de football en 1998, l’exploit du XV de France face aux All Blacks en 1999, mais aussi Richard Cœur de Lion qui vole sur les montagnes du Tour de France. Bien parti pour devenir professeur d’EPS, les événements de la vie (et la flemme d’animer des séances de 3x500 mètres toute ma vie) m’ont conduit à revoir mes plans. Me voilà depuis fin 2017 sur Dicodusport, média grâce (et pour) lequel je partage ma passion : le sport dans tous ses états. Le tout accompagné par les fous furieux et folles furieuses cités sur cette page !

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