Ligue des Champions (J2) : Brest terrasse Salzbourg et enchaîne une seconde victoire

LIGUE DES CHAMPIONS – Les clubs autrichiens réussissent bien aux Brestois. Après avoir éteint le Sturm Graz lors de la première journée, ils ont terrassé les joueurs de Salzbourg. Loin d’être parfait pendant plus d’une heure, Brest a assommé son hôte dans les 20 dernières minutes et repart d’Autriche avec un second succès consécutif 4-0. On répète, 4-0.

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Il s’agissait de laver l’affront pour Brest, et relancer la machine. Malgré une bonne opération contre le Sturm Graz en entame de campagne européenne, la formation d’Éric Roy restait sur une défaite 3-0 sur les terres auxerroises en championnat. Le coach avait d’ailleurs fait un choix fort avec un changement de capitanat, Hugo Magnetti récupérait le brassard. A contrario, leur hôte du jour, le RB Salzbourg, avait moins bien commencé la Ligue des champions, battu par le Sparta Prague, mais restait invaincu depuis trois rencontres dans les différentes compétitions autrichiennes.

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Brest en tête contre le cours du jeu

La première période a été animée, marquée par de nombreuses fautes, en témoignent les 15 coups de sifflet de Mr Taylor. Mais ces 45 minutes initiales ont surtout été ponctuées par les occasions autrichiennes. Car les Bretons ont rapidement subi la supériorité technique de Salzbourg. Sauvés par la vidéo et une position de hors-jeu de Dourna-Douath, effaçant l’ouverture du score autrichienne, ils ont longtemps remercié le manque de précision des Autrichiens devant les buts. Mais également leur portier, trop souvent sollicité et impeccable sur sa ligne. Pourtant, à la pause, la Red Bull Arena avait perdu sa voix.

BREST OUVRE LE SCORE 🔥

Abdallah Sima permet aux Bretons de mener 1-0 sur la pelouse de Salzbourg !#SALSB29 | #UCL pic.twitter.com/HDu9mNnqmt

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Si les tentatives d’Amar Dedic (17′), Karim Konaté (19′), Oscar Gloukh (38′) ou encore Mads Bidstrup (41′) n’ont pas trouvé le fond des filets de Bizot, celle d’Abdallah Sima avait entre-temps fait mouche. Lancé en profondeur après un bon travail de Ludovic Ajorque côté gauche, l’international sénégalais a ainsi trompé Blaswich contre toute attente.

Salzbourg manque les occasions, Brest s’impose

Revenus avec les mêmes intentions qu’en première période, les Autrichiens ont logiquement poussé pour égaliser. En manque de sérénité défensivement, Brest a encore été dominé. Gloukh, Morgalla, Clark puis Dedic ont alors martelé les cages des visiteurs, en vain. En revanche, sur l’une des rares infiltrations dans la surface des locaux, les Brestois ont une nouvelle fois concrétisé. Bénéficiant d’un mauvais renvoi de la défense, Mahdi Camara a doublé la mise. Ça a été la goutte de trop pour Salzbourg qui s’est alors écroulé. Abdallah Sima a ainsi poursuivi le festival, signant son 3^ème but dans la compétition (70′). Puis cinq minutes plus tard, Mathias Pereira Lage a parachevé celui-ci pour un succès 4-0 de Brest. On répète, 4-0. Quelle soirée pour le club français qui fait une nouvelle fois le plein de points !

⌚️90′ | C’est TER-MI-NÉ

Au terme d’une seconde période complètement folle, le Stade Brestois s’impose avec la manière sur la pelouse de Salzbourg et signe un premier succès historique loin de ses bases en @ChampionsLeague 😍

MERCI MESSIEURS !#SALSB29 0️⃣-4️⃣ pic.twitter.com/B6Wwvw0u4k

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Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.