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Football

3 juin 1997 : Le coup franc imparable de Roberto Carlos

Sophie Clapier

Publié le

3 juin 1997 - Le coup franc imparable de Roberto Carlos
Photo DR

FOOTBALL – Au lendemain de la victoire des Bleus face au Pays de Galles, retour aujourd’hui sur une autre rencontre de l’équipe de France. Nous sommes alors le 3 juin 1997 et cette dernière reçoit le Brésil lors du Tournoi de France. Tout le monde se souviendra d’une chose après ce match, le coup franc de Roberto Carlos.

Ça s’est passé le 3 juin 1997

En ce jour, il n’y a pas vraiment d’enjeu pour l’équipe de France, si ce n’est se préparer au mieux pour sa Coupe du monde l’année suivante. Et pour se préparer au mieux, on rencontre le meilleur. Et le meilleur du moment, c’est le Brésil. Malheureusement tout ne débute pas de la meilleure des manières. Après vingt minutes de jeu, Didier Deschamps commet la faute sur Romario. C’est à ce moment que Roberto Carlos se saisit du ballon, prêt à tirer le coup franc. On est alors à près de 35 mètres du but de Fabien Barthez -qui, entre nous, ne bougera pas d’un iota – et le voilà qu’il recule pour prendre son élan. Un pas, deux pas puis trois … le voilà dix mètres derrière le ballon. Arrivé dans le rond central, le Brésilien commence sa course. Le reste appartient ensuite à l’histoire. On vous laisse revivre la scène, commentée par Thierry Roland et Jean-Michel Larqué, évidemment !

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Info : A Lyon, les Bleus réussissent néanmoins à réduire le score et à décrocher le match nul (1-1) après l’égalisation de Marc Keller. Ce dernier connait alors sa première réalisation sous les couleurs tricolores. Malheureusement, son but est éclipsé par celui de Roberto Carlos. Les coéquipiers du Brésilien auraient, au lendemain du match, tenté de réaliser le même geste lors de l’entraînement. Tenté …

Journaliste/rédactrice depuis janvier 2016 - Passionnée de sport depuis toujours, j’en ai pratiqué quelques-uns. Judo, football, handball ou encore tennis, je n’ai jamais pu me mettre d’accord sur un en particulier. Mais ça, c’était avant de découvrir le basket, devenu mon sport de prédilection. Les actions NBA, le All-Star Week-end, la fureur des Game 7 pendant les playoffs ou mieux, lors des Finals, this is why we play. Team Spurs T.P, je m’accroche encore à Gregg Popovich (don’t leave !). Team chef Curry, je souhaite qu’il finisse aux Warriors (staaaay !). Non, il n’y a pas qu’eux, des petits nouveaux -et des petites nouvelles évidemment- arrivent chaque jour dans toutes les disciplines et créent de nouveaux exploits. Alors pour les grands événements et compétitions internationales, vive les pulsations 240/minutes et le défibrillateur pas loin, et allez les Bleu(e)s ! C’est sûr, j’aurai plus vu ma vie sur un terrain de sport, mais à défaut d’en faire en haut niveau, je le partage avec vous.

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