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Champions Cup 2023-2024

Toulouse – Harlequins : Les notes du Stade Toulousain

Etienne Goursaud

Publié le

Toulouse - Harlequins Les notes du Stade Toulousain
Photo Icon Sport

CHAMPIONS CUP 2023-2024 – Découvrez les notes du Stade Toulousain face aux Harlequins, après la victoire de Toulouse (38-26).

Les avants

Cyril Baille – 6,5 : 

Très sollicité en début de match (trois courses avec ballon en début de match). Il a fait preuve d’impact. Tout en tenant bien en mêlée, même si elles n’ont pas toutes tourné en faveur de son équipe. Défensivement, il a été solide, avec un beau 9/9 au plaquage. Remplacé par Rodrigue Neti (60e). Qui a été sérieux dès son entrée, que ce soit en mêlée ou défensivement. Sans être aussi mobile que son partenaire.

Peato Mauvaka – 8 :

Le talonneur international a livré un match plein. En étant directement à l’origine de deux essais. Marqueur après avoir conduit le maul (17e) et directement impliqué dans le 5e essai des siens, avec son démarrage (37e). Il a aussi récupéré deux ballons dans ce match (17e et 18e). Il termine le match avec 43 mètres gagnés ballon en mains. Remplacé par Julien Marchand (50e). Qui conduit le maul qui amène le 6e essai des siens, quelque temps de jeux plus tard (68e). Et qui a fait un match dans la continuité de son partenaire (quatre courses et deux passes en 30 minutes de jeu), en étant moins efficace défensivement (2/4 aux plaquages).

Dorian Aldegheri – 6 :

Il a énormément souffert en mêlée. D’abord pénalisé directement (11e). Puis pour une grande nervosité (32e). Pénalisé en mêlée pour avoir écroulé (11e). Défensivement, il a fait le job, avec un beau 8/8 au plaquage. Il récupère également une pénalité précieuse (59e). Remplacé par Joel Merkler (60e). Qui a été sobre et solide pour son entrée



Thibaud Flament – 7

Sur cette première période, on a retrouvé le Thibaud Flament du Six Nations 2023. Avec une énorme activité partout, à l’image de ses quatre courses en 30 minutes et de ses duels gagnés. Il est impliqué sur deux essais. Avec un ballon gratté en touche qui amène le premier essai toulousain (4e) et il inscrit le 3e essai. Défensivement, il a mis de l’activité, avec cinq plaquages en 23 min. Mais a davantage souffert, à l’image de son équipe, dans le second acte. En loupant deux plaquages. Dont un sur une action qui amène un essai adverse.



Emmanuel Meafou – 6,5 :

Offensivement, comme à son habitude, il a apporté, avec deux offloads, dont le deuxième qui amène le premier essai des siens (5e). Trouvé et utilisé, il a été bon ballon en mains (six courses avec ballon et cinq passes). Mais, après 30 minutes de jeu, il a baissé de pied. Il est d’ailleurs pénalisé (30e). Moins en vue dans le début du second acte et remplacé par Richie Arnold (55e). Qui a parfaitement pris le relais. Avec de la sobriété, mais des duels gagnés (quatre mètres gagnés en deux courses).

François Cros – 8,5 :

Il est le seul joueur du match dont on pardonnera d’avoir raté deux plaquages. Vu qu’il en a réussis vingt. Dont au moins quatre ont abouti directement ou non à une récupération de balle de son équipe. En bref, il a été excellent là où on l’attendait. En essayant aussi de participer au jeu (deux passes et trois courses). En négatif, il est pénalisé pour ne pas s’être sorti de la zone plaqueur plaqué (11e). C’est presque anecdotique.

Jack Willis – 6 :

Dans un rôle de défenseur, il a surtout été courageux et efficace dans ses plaquages (12/12). À son débit, il n’est pas exempt de tout reproche sur les deux essais anglais dans le second acte, où il est quelque peu en retard. Offensivement, il a fait du vrai travail d’ombre (six courses avec ballon et des duels gagnés). Remplacé par Mathis Castro-Ferreira (71e).

Alexandre Roumat – 7 :

Un ballon gratté (1e). Au relais de nombreuses actions toulousaines en étant capable de faire vivre le ballon (six passes). Il gratte également au minimum deux ballons. Dont le second où il récupère une pénalité à l’origine du 5e essai (35e). Défensivement, ce fut plus compliqué parfois, avec trois plaquages ratés, le plus haut total de son équipe.

Les notes de la charnière et des trois-quarts

Journaliste et amoureux de sport. Ancien footballeur reconverti athlète quand ses muscles le laissent tranquille. Elevé à la sauce des exploits de Thomas Voeckler en 2004, du dernier essai de légende de Eunice Barber à la longueur lors des championnats du monde d'athlétisme de 2003 mais aussi Zidane, Omeyer et Titou Lamaison.

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